Imaginales 2009 volume 1

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Premier des billets consacrés aux quatre jours passés aux Imaginales. Comme l’année dernière j’ai deux tonnes de photos à poster ici… Comme d’habitude il suffit de cliquer dessus pour les ouvrir en grand dans une nouvelle fenêtre.

Par quoi allons-nous commencer cette année ? Par les dédicaces ? Oui c’est une bonne idée… C’est parti pour les dédicaces.

Commençons par la star des dédicaces Pierre Bottero fournisseur officiel de soleil du festival

   

…dont le succès ne tarit pas, regardez la masse de fans qui attendent sagement

Continuons avec Jean-Louis Trudel, auteur canadien de SF mais aussi blogueur sur Culture des futurs. Une belle découverte pour nous parce qu’en plus d’être sympathique et accessible il écrit aussi du space opera, genre de prédilection de M Lhisbei et qui peine à exister chez les éditeurs (la fantasy, avec elfes, nains , orcs et magicien se vend mieux). M Lhisbei a fait une razzia sur le stand après avoir succombé au charme de Suprématie (écrit à quatre mains sous le pseudonyme de Laurent McAllister)

   

M Lhisbei a continué sa séance d’achats et dédicaces avec Jean Pierre Andrevon et Jean Claude Dunyach,  le spécialiste des dédicaces puzzle.

      

J’ai pris la suite avec une série de dédicace de l’anthologie « L »  réalisée par Charlotte Bousquet et dont les droits sont reversés à l’association Aurore – La maison Cœur de femmes.

Maëlig Duval et Charlotte Bousquet sur la photo de gauche et Li-Cam sur la photo de droite.

    

Lucie Chenu ensuite, au sommaire de « L » avec Lune de mon coeur, un texte très dur mâtiné de fanstatique sur les violences conjugales. J’ai beaucoup d’admiration pour Lucie Chenu (mais ça je n’ai pas osé lui dire). Elle a dirigé plusieurs anthologies (Pro)Créations, Identités et De Brocéliande en Avalon et dirige la collection Imaginaires des Editions Glyphe. C’est donc elle qui m’a fait découvrir Lionel Davoust et son Ile close et Armand Cabasson avec La Dame des MacEnnen.

      

Dans cette anthologie figure aussi un texte de Sire Cédric. J’avoue avoir triché un peu et lu ce texte dans les premiers (alors qu’il est le dernier au sommaire) pour pouvoir faire la connaissance de Sire Cédric.  J’avais un peu peur d’une débauche d’hémoglobine et d’une violence gratuite mais pas du tout. Son texte m’a rappelé quelques bons frissons de ma jeunesse procurés par les livres de la collection Pocket Terreur.  L’auteur est, je commence à en avoir assez de me répéter comme ça, très sympathique, souriant et son accent toulousain  chantant m’a fait craquer pour son dernier roman L’enfant des cimetières.

    

Photos de C.Schlonsok tous droits réservés

Cet article a 5 commentaires

  1. Lucie

    (*^_^*)
    Je suis toute rouge ! Merci pour les compliments, et merci pour m’avoir prise en photo d’une manière où je m’aime bien (même si je suis coiffée comme l’as de pique Je suis ravie de t’avoir fait connaitre Lionel Davoust, Armand Cabasson et les autres ! Et je suis bien contente d’avoir pu te voir, même si, comme à chaque fois avec les salons, c’était très bref.
    (PS : c’est “(Pro)Créations” avec la parenthèse et les deux majuscules, des fois que les lecteurs de tes dithyrambes soient intéressés Même que ça ne facilite pas le référencement, d’ailleurs !)

  2. Lhisbei

    De rien. je pense ce que j’écris (à défaut d’arriver à le dire[la tu vois])
    Pour la photo je transmets au photographe je suis très heureuse d’avoir pu te voir même si, en effet c’était bref. [Bravo]
    c’est corrigé pour (Pro)Création je ne veux surtout pas décourager les internautes.

  3. La liseuse

    J’ai terminé L’enfant des cimetières. Ma 1ère lecture de l’auteur. assez marquante d’ailleurs. J’ai finalement commandé La dame des MacEnnen. depuis le temps que je le voulais…
    Merci pour ce compte-rendu.

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