Celtic Faeries – Jean-Baptiste Monge

Celtic Faeries

De Jean-Baptiste Monge

Au bord des continents – 104 pages

Préface de Pierre Dubois

Êtes-vous prêts à suivre Jean Baptiste Monge sur les terres des Celtic Faeries ? Pour rencontrer Elfines, Knockers, Pixies, Gobelins, Leprechaun, Fays, Changelings, Korrigans… et toutes ces créatures millénaires qui hantent les forêts. Mais attention pas la version édulcorée et lisse fabriquée de toute pièce par nos mondes modernes aseptisés mais bien la traditionnelle, la dangereuse Faerie, celle dans laquelle un certain Rimeur s’est perdu, celle qui inspira Shakespeare et Blake et qui perdit plus d’un imprudent. Pour vous guider, en plus du trait de Jean Baptiste Monge, vous pouvez compter sur la plume érudite de Pierre Dubois, fin connaisseur du Petit Peuple.

En Faerie, les habitants ont des trognes grimaçantes, repoussantes ou effrayantes, malicieuses, espiègles ou amusantes mais toujours attachantes. Jean Baptiste Monge les met en scène avec un soucis du détail et une minutie du dessin qui suscite  l’admiration y compris lorsqu’elles ne sont qu’esquissées. Chaque dessin porte son histoire qui rejoint parfois la nôtre (comme l’origine de la Stout irlandaise que l’on doit aux Gobelins) et, même si nous ne sommes pas tout à fait dans une encyclopédie, démontre une solide connaissance des mythes et légendes celtes.

Il ne vous reste plus qu’à trouver L’Arbre à Fées qui marque la frontière, à passer de l’Autre Côté… et à guetter le son des grelots. Au détour d’une lande balayée par la pluie ou d’une tourbière humide, peut être croiserez-vous  Puck, qui sait ?

Visitez le site de Jean Baptiste Monge. Lisez aussi les avis du Peuple Féérique, de L’autre côté du miroir et de Pause toujours.

                                                  ” Dans un grain de sable voir un monde
et dans chaque fleur des champs le paradis
Faire tenir l’infini dans la paume de
la main et l’éternité dans une heure ”
William Blake

Cet article a 5 commentaires

  1. Lhisbei

    j’ai d’abord été déroutée puis sans m’en rendre compte j’étais mordue et j’ai dévoré la suite. faut s’habituer au dessin en tout cas[]

  2. Lhisbei

    Edelwe : c’est un livre dont on peut se dispenser mais lus semble les deux tomes du chant de l’oiseau de nuit reste un bon moment de lecture-frisson. C’est un thriller historique qui se lit bien. []

  3. Lhisbei

    @ La liseuse et Loula : oui c’est horrible toute ces tentations []
    @ Isabelle : et ton père il a aimé ?
    @ Isil : pour moi c’est une découverte []

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