En août, les vacances tant attendues étaient enfin là, avec un programme varié : un peu de tourisme local, une immersion de quatre jours à la convention de SF, la Betiz Connexion à Cambrai, une escapade parisienne pour les Jeux Paralympiques agrémentée de cuisine libanaise et bien sûr, beaucoup de lecture. La rentrée approche. Il est temps de faire le point sur la vie de la PAL et du blog : quels titres ont rejoint ou quitté ma Pile à Lire ce mois-ci ? Passons tout cela en revue.

Du côté des entrées au format papier, commençons par les dernières nouvelles de l’abonnement Chronopages : “Sous les écailles” d’Alexandra Fresse et le second Hors série de la collection (Wiménon) composé de deux titres : “Les brioches de nuit” d’Edouard H. Blaes et “Venator” de Jean-Laurent Del Socorro.

 

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Poursuivons avec une arrivée surprise : la réédition de L’automate de Nuremberg de Thomas Day dans la collection Une Heure-Lumière, un excellent texte qui mérite de continuer à vivre (mais qui n’entre donc pas en PAL) et L’éveil du Palazzo de Léo Henry.

 

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Otto n’a pas eu le temps de poser les tentacules sur l’anthologie Les Finalistes du prix Rosny aîné 2024 — pour une fois, j’ai été plus rapide que lui ! Je l’ai privé de photo, c’est mal.

En numérique, une entrée ce mois-ci avec Le Huitième registre – Tome 2, la quête de l’inquisiteur d’Alain Bergeron (pour le prix ActuSF de l’Uchronie)

Petit point sur la lecture en numérique. Ma liseuse Vivlio m’exaspère de plus en plus, au point que je regrette presque cet achat. Je ne parviens pas à m’habituer à son ergonomie :  le surlignage relève de l’exploit, et la prise de notes est si compliquée que je n’y suis parvenue qu’une seule fois. Résultat : je me retrouve à prendre en photo les passages clés avec mon smartphone. Quant à la navigation, j’ai abandonné l’idée de tourner les pages autrement qu’avec les boutons et celle de consulter un sommaire. Pour ne rien arranger, les boutons et les menus personnalisables ne réagissent pas comme je leur demande. Et lorsque la liseuse se met en veille, mieux vaut attendre qu’elle s’éteigne complètement plutôt que de tenter de la “réveiller”. Bref, entre elle et moi, ça ne colle pas.

Nous avons donc 3 entrées dans la PAL principale et 2 entrées dans la PAL des Nouvelles et novellas.

Du côté des sorties, faisons le point. J’ai :

• terminé et chroniqué La Maison des Soleils d’Alastair Reynolds
• lu et chroniqué Zona Cero de Gilberto Villarroel
• lu et chroniqué l’anthologie Les Finalistes du prix Rosny aîné 2024
• lu, dans cette anthologie Rossignol, la novella d’Audrey Pleynet et publiée dans la collection Une Heure-lumière (chronique à venir)
• lu et chroniqué pour Bifrost L’Épée de laurier-rose, deuxième tome de la série Les Royaumes ardents de Tasha Suri
• terminé, en l’audiolecture Schémas artificiels, deuxième tome de la série Journal d’un AssaSynth de Martha Well (chronique à venir)

Bon sang, ce que j’aime les vacances … 🙂

Avec 4 sorties pour 3 entrées, la PAL principale passe à 352 titres. Avec 1 sortie pour 2 entrées, la PAL des nouvelles et novellas monte à 106 titres.

Côté blog, en plus des billets sur les titres lus, le Summer Star Wars Ahsoka a fait sa deuxième escale et j’ai terminé la série de billets sur les Imaginales : les conférences du vendredi, du samedi et du dimanche et sur l’exposition de Daria Schmitt.  J’ai gardé un bon rythme de publication. Pas de club de lecture d’ActuSF en août. En septembre, nous allons revenir sur la convention de SF de Cambrai et rapatrie des chroniques de livres publiées dans Bifrost.

Côté ciné nous sommes allés voir Borderlands, adaptation d’un jeu vidéo dont je n’avais jamais entendu parler. C’est comment ? Fun et décomplexé, bourrin (mais moins que ce que la bande annonce pouvait laisser penser) et pas très bon (mais pas totalement mauvais non plus, les acteurs font le job). Pour Deadpool & Wolverine, on verra si on trouve un créneau (mais avec Borderlands, j’ai mon quota de film WTF pour le mois). Côté canapé, nous avons rattrapé Civil War en VOD, un portrait glaçant d’un pays en proie au chaos avec un décentrage du point de vue puisque la guerre civile aux USA est vue par des journalistes, des photographes chargés de couvrir le conflits. J’étais assez secouée du début jusqu’à la fin.

Côté séries, nous avons terminé The Acolyte, une énième production de l’univers Star Wars par Disney. Le début était prometteur, avec une intrigue centrée sur une communauté de sorcières capables de percevoir et d’utiliser la Force d’une manière différente des Jedis. Assez vite, l’histoire se perd dans des éléments déjà vus et revus. La révélation concernant les Siths est l’une des pires. L’absence totale de rébellion d’Osha lorsqu’elle est prisonnière, ainsi que la représentation d’un Ordre Jedi rongé par la corruption mais toujours perçu comme pur, ça ne colle pas. Je suis bon public, mais il y a des limites. Nous avons visionné les deux premiers épisodes de Nautilus (je réserve mon jugement, mais le ton me fait beaucoup penser à une autre série : Enola Holmes). Les autres séries, Le problème à trois corps et My Lady Jane sont en pause pour le moment.

On termine en musique avec ce titre planant (Big Jet Plane par Angus and Julia Stone)