Ils ont rejoint ma PAL (176)


Alors que le mois d’octobre touche à sa fin et que les Utopiales battent leur plein, voici venu le temps de faire le point sur  l’évolution de la PAL (Pile à Lire) au mois d’octobre. Côté jardin, on a encore ramassé une courgette en octobre — y’a plus de saison, ma bonne dame ! Oui, ça s’appelle le réchauffement climatique, et, non, ce n’est pas vraiment une bonne nouvelle. Et la PAL (Pile à Lire) dans tout ça ? Allez, place au traditionnel bilan mensuel sur les entrées et sorties de la Pile à lire !

Les entrées en PAL

Au format papier deux arrivées ce mois-ci. La première, Et il n’en resta plus que (n-1) de Sarah Pinsker, provient d’un financement participatif — avec, au passage, quelques péripéties dont nous tairons les détails).

 

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La seconde, Le Coeur des Nagas, premier tome de la série L’Oiseau qui boit des larmes de Lee Yeong-do est une proposition de service presse qui me tentait bien.

 

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Au format numérique, pas d’entrée pour ce mois-ci.

Et pour terminer le recensement des entrées, signalons l’arrivée du Bifrost n°120 avec un dossier consacré au multiversalisme (késako? )

 

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Faisons les comptes : +2 titres en PAL principale et +0 titres en PAL des nouvelles et novellas.

Et les sorties de la PAL, alors ?

Petit mois lecture en octobre avec un seul titre sorti de la PAL (mais au moins je l’ai chroniqué celui-là) :

En audiolivre, j’ai commencé La Police du temps T1 de Jodi Taylor, lu par Hélène Poussin. Oui, je sais, j’ai le livre numérique dans la PAL. Mais en audio, c’est sympa. 

Les comptes sont vite faits : 1 sortie dans la PAL principale. Pas d’autre sortie.

Avec 1 sortie pour 2 entrées, la PAL principale remonte à 353 titres. La PAL dédiée aux nouvelles et novellas reste stable avec 113 titres.

Et le reste ?

Côté blog, soyons honnêtes : c’est encore parti en cacahuète. J’ai tout de même publié la chronique du Bifrost 119, consacré à Greg Bear, ainsi que celle de ma lecture du mois — Le Cœur des Nagas, premier tome de L’Oiseau qui boit des larmes de Lee Young-do. Comme quoi, avoir une deadline, ça aide !
Les trois brouillons des lectures de septembre patientent encore, mais j’ai pris le temps de rédiger, en partie, le compte rendu de notre visite au festival Hypermondes, avec les conférences et les expositions et dédicaces. Il ne reste qu’un seul billet à publier sur ce festival.

Pour l’instant, nous avons mis entre parenthèses les billets de parutions en duo avec Chut Maman Lit. Trop chronophage, et, après plusieurs années, ce travail de recensement commence à peser un peu. Cela dit, il me permet aussi de rester en veille sur les sorties : disons que nous prenons simplement quelques vacances de ce côté-là.

Côté ciné, impossible de convaincre M. Lhisbei d’aller voir Tron. Nous sommes en revanche allés voir Kaamelott : Deuxième volet, partie 1 et, disons-le, nous laissons notre avis en suspens : beaucoup d’arcs narratifs, un rythme un peu lent, pas souvent drôle — mais ce n’était sans doute pas tout à fait le but. Attendons la pertie 2 pour juger du tout.

Et sur le canap ? On a visionné la saison 2 de Wednesday. J’ai bien aimé, mais il m’a fallu quelques épisodes pour être vraiment séduite. Dans cette saison, le ton se fait plus sombre, plus dramatique, et l’humour noir qui faisait tout le sel de la première saison se fait cruellement rare dans les premiers épisodes. J’ai eu un peu de mal à retrouver le mordant et la malice macabre qui m’avaient tant plu au départ. Mais passé ce cap, la série retrouve peu à peu son équilibre : l’intrigue prend de l’ampleur, les visuels restent somptueux, et Jenna Ortega continue d’incarner une Wednesday toujours aussi magnétique. Bref, un démarrage plus lent, mais une saison qui finit par convaincre… en espérant ne pas avoir à attendre plusieurs années avant de voir une saison 3.

La saison 2 de Andor est un toujours en pause (peut-on dire abandonnée ?). On a, toujours en file d’attente, Fondation (mais j’ai perdu le rythme, il faut bien l’avouer).

On termine en musique avec ce titre, de circonstance, avec ce titre : Lady Gaga The Dead Dance, morceau composé pour la saison 2 de Wednesday et sublimé par un clip signé Tim Burton…

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