Ils ont rejoint ma PAL (175)

Et nous voilà déjà presque à la mi-octobre… Le blog — ou plutôt la blogueuse — semble avoir disparu dans une faille spatio-temporelle depuis le retour du festival Hypermondes. Que s’est-il passé en septembre ? Un tunnel de boulot qui vide un peu la tête, quelques avancées sur le projet de micro-entreprise (une idée un peu folle qui a germé en mai), un petit tour au festival Hypermondes  – qui s’étoffe, d’année en année, et qui nous permet à présent de remettre le Prix Actusf de l’Uchronie dans une ville où l’on sait festoyer : de bons restos, une excellente compagnie, et j’en arriverais presque à apprécier les vins de Bordeaux ! Sans oublier, dans un tout autre registre, une courge géante qui pousse dans le jardin. Bref, la vie est belle. Et la PAL (Pile à Lire) dans tout ça ? Allez, place au traditionnel bilan mensuel sur les entrées et sorties de la Pile à lire !

Les entrées en PAL

Côté papier, petit craquage collectif à Hypermondes — enfin, petit pour moi, beaucoup moins pour M. Lhisbei.

Le craquage de M. Lhisbei : une planche originale. Je dois avouer que j’aime bien quand M.Lhisbei craque comme ça.

Mon petit craquage à moi (et on reste dans le thème) : Les Carnets de Stamford Hawksmoor, la nouvelle BD située dans l’univers de Grandville par Bryan Talbot. Double avantage : elle entre en lice pour le Prix Actusf de l’Uchronie et elle ne compte pas pour la PAL.

 

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En numérique, pour le Prix ActuSF de l’uchronie, j’ai reçu La police du temps, premier tome de la nouvelle série de Jodi Taylor, et L’oiseau de feu de Karell Clara.

Et pour une chronique dans Bifrost, j’ai reçu Les Survivants du Ciel de Kritika H. Rao.


Faisons les comptes : +3 titres en PAL principale et +0 titres en PAL des nouvelles et novellas.

Et les sorties de la PAL, alors ?

Avant de tomber dans la faille spatio-temporelle mentionnée en début de billet, j’ai lu :

  • La fille qui sauva Hiroshima de Stéphane Desienne
  • Le Bifrost 119 consacré à Greg Bear
  • La librairie des souvenirs de Song Yu-Jeong
  • Entre autres univers d’Emet North

En audiolivre, je n’ai rien commencé : je cherche des idées de lecture pour sortir un peu de la série Assasynth.

Faisons les comptes : 3 sorties dans la PAL principale.

Avec 3 sorties pour 3 entrées, la PAL principale reste stable à 352 titres. La PAL dédiée aux nouvelles et novellas ne bouge pas non plus à 113 titres.

Et le reste ?

Côté blog, c’est un peu parti en cacahuète. J’ai chroniqué La Cité des lames, deuxième volet de la série Les Cités divines de Robert Jackson Bennett, le Bifrost 118  et Stratégie de sortie, 4eme tome de la série Assasynth de Martha Well (en audiolecture). Le Summer Summer Star Wars Andor – Saison 2 a fait sa troisième escale, sur Ghorman, avant de revenir se poser sur Terre. Aucun des titres lus en septembre n’est chroniqué (trois beaux brouillons me toisent avec une pointe d’agacement). Le C/R de notre visite à Hypermondes n’est pas encore écrit. Et le billet sur les parutions de septembre est un peu passé à la trappe aussi. On va voir ce qu’on peut faire sur octobre pour rattraper ça.

Côté ciné, rien. Pas le temps, pas l’envie et le seul film quo me fait de l’oeil, c’est Tron mais je désespère de convaincre M. Lhisbei d’aller le voir (j’attendrai la VOD).

Et sur le canap ? La saison 2 de Andor est un toujours en pause. On a, toujours en file d’attente, du Fondation et du Wednesday (mais j’ai du mal à me motiver – trop d’attente entre les deux saisons).

On termine en musique avec ce titre qui, chaque matin dans la voiture, me met en mode “optimiste” pour aller bosser — et quand on sait où je bosse, il en faut, des shoots musicaux d’optimisme, croyez-moi. La playlist de la voiture ce n’est pas forcément de la grande musique : il faut juste que ça fasse le job, que ça me conditionne. Celle-ci, High Hopes de Panic! At The Disco et Unstoppable de Sia font remarquablement bien le job.

 

Cette publication a un commentaire

  1. Baroona

    Ça fait totalement le job.
    La courge est clairement le point d’orgue du mois !
    Il faut vraiment que je lise « Grandville ».

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