Samedi 10 octobre se tenait, à Hallennes-Lez-Haubourdin, le salon de l’imaginaire Les Halliennales. Bertrand Campeis, M. Lhisbei et moi y étions et nous allons vous raconter par le menu la journée.
La veille, le samedi soir, M. Lhisbei et moi avons participé à la Dernière soirée avant les Halliennales au dernier bar avant la fin du monde de Lille. Le bar en lui-même est un endroit sympa, même si la déco n’est pas encore terminée. Le Tardis qu’il accueille se révèle être un endroit très commode et très utile (devinez à quoi il sert …). Un des serveurs est le sosie de John Snow, mais en T-shirt plutôt qu’en habit de la Garde de Nuit. J’ai pu faire la connaissance de Jeanne Bocquenet-Carle, Michaël Sailliot, Eric Boisset et Pierre Gaulon. J’ai aussi pu (enfin !) rencontrer Nicolas de Just A Word. La soirée s’est prolongée au Flam’s où j’ai pu deviser longuement avec le passionné et passionnant Stefan Platteau (tout en lui ventant les mérites des Nefs de Pangée de Christian Chavassieux) et dire toute mon admiration à Morgane Caussarieu pour son roman Je suis ton ombre.
Le lendemain, en compagnie de Bertrand Campeis, à la table des auteurs en dédicace, j’ai retrouvé quelques connaissances de la veille : Michaël Sailliot, Eric Boisset et Pierre Gaulon. A notre droite, se tenait Georgia Caldera. Croyez le ou pas, mais cette dernière n’a pas pu s’arrêter un instant de dédicacer (sauf pour prendre une pause déjeuner bien méritée) : la file qui patientait sagement ne désemplissait pas. La file était tout aussi nombreuse pour Sophie Jomain et Cassandra O’Donnell. Le salon des Halliennales, initialement, était un salon axé sur le Fantastique et cela constitue une identité marquée qui perdure.
L’ambiance était chaleureuse. La preuve : tous les auteurs affichaient un sourire à faire palir les pub pour dentifrices…
Les collégiens et lycéens avaient répondu présent, et, dans les allées déambulaient aussi des amateurs de littératures costumés dans des univers steampunk, victorien ou romatico-gothique…
Ceci dit, nous avons trouvé des amateurs d’uchronies qui ont investi dans le Guide de l’uchronie ou sont venus avec leur exemplaire à dédicacer. Nous avons pris le temps de discuter avec eux parce que nous sommes curieux (c’est mal, je sais) et nous avons eu la surprise et la joie de découvrir que des professeurs souhaitaient utiliser le Guide pour travailler avec leur classe ! Que le Guide soit utile aux bibliothécaires et aux enseignants, voila qui me rassure sur l’utilité de son existence…
Kalev nous a aussi fait la surprise de venir nous voir et je suis très contente d’avoir enfin mis un visage derrière son blog ! Et nous avons pu discuter avec une jeune demoiselle (j’ai pris un coup de vieux, on peut presque diviser mon âge par deux pour aboutir au sien) qui blogue sur Les Livres en folie.
L’après-midi, nous avons participé à une conférence intitulée « Voyage en uchronie » et modérée par David Boidin, un homme exquis.
Photos par C.Schlonsok tous droits réservés
Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Et le soir venu, le carrosse nous attendait pour un retour à la maison. Il ne s’agissait pas de le laisser se transformer en citrouille…
Ca avait l’air chouette en tout cas ^^
Pour moi ça l’était 🙂