Il n’a échappé à personne que se tenait, le week-end dernier, le salon du Livre de Paris – pardon, le salon Livre Paris. Nous y étions, moi comme auteur en dédicace le dimanche, M. Lhisbei comme touriste chassant les photos (à défaut de trouver des livres à se mettre sous la dent). Et parce que un voyage à Paris sans jouer les touristes n’est pas un voyage digne de ce nom, nous avons anticipé notre départ. Le samedi nous avons donc fait un tour au Palais de la Découverte pour l’expo Visiter Mars. Pour accéder au palais de la découverte, il nous a fallu longer le Grand Palais, magnifique bâtiment qui accueillait la 7ème édition du Saut Hermès, concours de saut d’obstacles international de niveau 5 étoiles. En plus de magnifiques équidés, nous avons assisté au défilé de voitures luxueuses, de fourrures tout aussi luxueuses, de Louboutin et Longchamp…
Au Palais de la Découverte, nous nous sommes amusés comme des fous. L’exposition sur Mars, trop petite, nous a un peu frustré même si son côté interactif nous a séduit (et toucher une roche venue de Mars, c’est anecdotique, mais sympa). Nous avons ensuite visité l’expo consacrée aux dinosaures, fait mumuse dans les salle de Physique : l’électromagnétisme (phénomène physique qui reste totalement hors de portée de mon entendement), l’optique, le son et la lumière. Après la pause déjeuner dans la brasserie d’en face (bénis soient les musées qui acceptent les sorties), nous avons visité la partie astronomie, participé à une séance du planétarium et admiré notre planète vue de l’espace. Une journée bien remplie
Passons aux choses sérieuses à présent. Le dimanche, nous étions donc au salon de livre de Paris. J’étais en dédicace de 14h à 18h, mais j’ai un peu de temps pour visiter le salon. J’avais dans l’idée d’acheter un essai (Le management désincarné de Marie-Anne Dujarier), de mettre la main sur Les Affinités de Robert Charles Wilson et de me payer un paquet de bonbon pour le TGV du retour. Impossible de mettre la main sur l’essai, pas de stand Denoël, ni de Denoël Lunes d’encre (pas même sur le stand de Gallimard). J’étais tellement dépitée que j’en ai oublié les sucreries. Le seul point positif : nous avons trouvé des livres à offrir pour un anniversaire (et c’est déjà pas si mal). L’imaginaire était encore un peu mis à l’écart des allées principales, mais en excellente compagnie à côté des éditeurs de mangas, jeux de rôles et BD. La déco du salon était sympa ceci dit :
Nous avons visité l’exposition consacrée à la collection La petite Bédéthèque des Savoirs (note pour plus tard : mettre la main sur les titres à paraître en mai et octobre 2016 : Le Tatouage et Le Féminisme). Une exposition intéressante surtout pour illustrer l’album Heavy Metal (Tshirt, pins et badges…)
Nous avons assisté à une conférence, Au bout du conte, avec Nathalie Azoulai et Michael Cunningham (l’auteur des Heures). L’après-midi, M. Lhisbei a assisté à trois conférences : Le boson et le chapeau mexicain – Un nouveau grand récit de l’univers par Gilles Cohen-Tannoudji, Du bonheur, aujourd’hui avec Michel Serres et Rencontre avec la bande dessinée indienne, avec Sachin Nagar, originaire de New Delhi.
Et bien entendus, nous avons fait le tour des stands :
Surprise au détour d’une allée (dommage que je n’aime pas ce type de friandise…)
Photos par C.Schlonsok tous droits réservés à l’auteur
Dans un prochain billet, nous nous baladerons du côté des stands des éditeurs de l’imaginaire présents au salon Livre Paris.
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Ca fait super bizarre de lire le nom de Marie Anne Dujarier dans ton article, j’ai l’impression d’être au boulot à des faire des commandes xD
Ah non hein. Pas le boulot :p