Le mois d’octobre n’est pas terminé, mais avec les Utopiales qui battent leur plein et les probables craquages dans la plus grande librairie de la galaxie, autant anticiper le bilan mensuel de la PAL d’octobre. Alors voyons donc comment se porte la Pile à Lire du mois d’octobre ? C’est parti !
Pour le prix ActuSF de l’uchronie 2022, j’ai reçu, en début de mois, Lupus in fabula, du steampunk pendant les années folles, premier roman de Jérôme Akkouche :
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Pour le prix ActuSF de l’uchronie 2023 cette fois, j’ai reçu Requiem en catastrophe majeure d’Olivier Gechter (il faut que je rattrape Evariste avant de le lire) :
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Du côté des entrées en numérique, deux titres sont venus rejoindre ma PAL et seront eux chroniqués pour Bifrost : Grain de sable de Louise Roullier et La fureur des siècles de Johan Heliot.
Reçu aussi le dernier numéro de Bifrost (les retards de Bifrost s’accumulent, là).
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Soit 4 entrées au total puisque Bifrost ne compte pas en PAL
Du côté des sorties, rush avant la délibération du prix ActuSF de l’uchronie (privée de sortie et de série j’étais) :
- Maître des djinns de P. Djèlí Clark
- Sol invictus de Raymond Iss
- La cour des ouragans, Vampyria T3 de Victor Dixen
- Le Suprême Sacrifice de Jack Campbell
- Uchronies – Le laboratoire clandestin de l’histoire de Thierry Camous
- Lupus in fabula de Jérôme Akkouche
- Le Fleuve Électrique de Victor Fleury et Vincent Longrive
J’ai aussi terminé La Guerre des marionnettes d’Adam-Troy Castro en audiolivre (et la seconde novella, est top aussi). J’ai très envie de craquer pour Celle qui devint le soleil de Shelley Parker-Chan (lu par Sabine Napierala) … On verra au retour des Utopiales…
Les PAL se montent donc à 340 titres pour la PAL principale et 75 titres pour celle des nouvelles et novellas.
Côté blog, pas grand chose (lire ou chroniquer…). J’ai quand même rattrapé les chronique du Chien du Forgeron de Camille Leboulanger et de Ring Shout, Cantique rituel de P. Djèlí Clark pour le prix planète-SF. Concernant les billets en mode brouillon j’ai pris une décision : les billets non écrits ne seront pas rattrapés, les brouillons écrits au quart ou à demi seront peut-être rattrapés, ou peut-être pas. Bref, cette impression d’être perpétuellement en retard me démotive plus qu’autre chose quand je regarde le blog, alors même que, avec ce tout ce qu’il m’a apporté et les rencontres qu’il a permises depuis 2008, je devrais être reconnaissante, heureuse et sereine. C’est un peu ma seconde maison ici et il n’y aucune raison que cette dernière me rende triste. Après avoir changé la déco, il est temps de changer de perception.
Côté images qui bougent, avec M. Lhisbei nous avons terminé Les Anneaux de pouvoirs (la série va en s’améliorant, que les chouineurs chouinent, nous on va suivre même s’il ne faut pas être pressé) et House of dragons (qu’on aime bien même si elle est un cran en dessous de un cran en dessous de Game of Thrones et même si je trouve que les dragons sont ratés – sauf leurs yeux – mais un dragon est un dragon, et par Griaule, un dragon ça se vénère) et Andor (même ambiance désespérée que pour Rogue One, mais c’est leeeeeeeeeeeeeeeeeeent, la résistance c’est souvent pot de terre contre pot de fer). Pas de cinéma ce mois-ci (rush de fin d’année pour le prix ActuSF de l’Uchronie, vous vous souvenez ?)
On termine en musique parce que ça se passe de mot (les sanglots déchirants des guitares font pleurer les âmes, oui) :
On vénère Griaule, surtout, c’est là l’essentiel – pour quiconque ne veut pas avoir d’ennuis, en tout cas.
Vive la nouvelle perception et vive la sérénité (je croise les doigts). Et bon futur rattrapage des nouvelles de Bifrost. ^^
Loué soit Griaule pour sa grande mansuétude !
Alors, pour les nouvelles de Bifrost, je ne sais pas encore si je vais les rattraper. Ma sérénité décidera :p
(merci pour les doigts croisés)