Avant de faire le bilan de 2022 (un exercice pour lequel je cherche encore la motivation), il faut bien faire le bilan de décembre. Et je peux vous déjà vous dire qu’il y a eu plus d’images qui bougent que de livres lus (et sans compter les nourritures terrestres)… Que s’est-il passé pour la PAL en décembre ?
Au format papier quelques entrées en PAL avec un livre reçu lors de sa sortie, mais passé à la trappe : La mythologie viking de Neil Gaiman
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Vient ensuite Morgane Pendragon de Jean-Laurent Del Socorro
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Et enfin cadeau de moi à moi avec Demain le silence de Kate Wilhelm dans la collection Dyschroniques
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En numérique un entrée qui n’en est pas une puisque Noir est le sceau de l’enfer, novella de Jean-Laurent Del Socorro est déjà en PAL dans son édition Didaskalie.
Du côté des sorties, c’est simple, j’ai peu lu (mais j’ai relu des nouvelles uchroniques pour un travail en cours). Une seule sortie de la PAL des Nouvelles & Novellas : Noir est le sceau de l’enfer de Jean-Laurent Del Socorro. Je suis un peu en pause lecture sur Celle qui devint le soleil de Shelley Parker-Chan en audiolivre. Le combo rhume / sinusite qui n’en finit pas n’aide pas. Vivement la fin de l’hiver.
La PAL des nouvelles et novellas reste à 75 titres. La PAL principale se monte à 341 titres.
Côté blog, pas grand chose à se mettre sous la dent ce mois-ci. Shame on me.
Côté images qui bougent, avec M. Lhisbei, on a failli se faire une toile. Nous étions motivés pour Avatar 2 en 3D en plein après-midi. Mais aussi en pleines vacances scolaires. Résultat ? Multiplexe bondé + salle complète = epic fail. Et adieu le resto qui devait suivre (et comme il n’y avait que des animés dispo à cette heure là, nous avons lâchement fui). Donc retour au fond du canap pour le mauvais Killing Gunther, malgré une idée de départ sympa, et un Schwarzy qui s’amuse dans le registre de l’auto-dérision (et c’est doublé avec les pieds en prime), le plus que moyen Takers avec Matt Dillon, Paul Walker, Idris Elba et Hayden Christensen (bon on ne sauvera que Idris Elba, toujours classe) et Bullet Train (grosse déception malgré quelques scènes marquantes, j’en attendais tellement plus). De mon côté, j’ai rattrapé Yesterday, une rom-com dans un monde parallèle sans Beatles et qui pose aussi la question de la démarche créative. Réalisé par Danny Boyle sur un scénario de Richard Curtis. J’ai adoré malgré la dose de guimauve (et Ed Sheeran est supportable).
On termine en musique et, pour bien démarrer l’année, ce sera avec Imagine Dragons
Techniquement, on peut dire uchronie ou pas pour « Yesterday » ? Je suis d’accord qu’on peut dire très bon film en tout cas, j’approuve complètement. ^^
Monde parallèle pour le procédé mais le résultat est le même. Le protagoniste est à deux doigts d’abandonner sa carrière d ‘auteur compositeur chanteur musicien, car elle ne décolle pas. Un soir de panne générale de courant (l’éclairage s’éteint partout), il se fait renverser par un bus. Bref coma. Au réveil le monde ne connaît pas les beatles (ni la cigarette d’ailleurs). Commence pour lui une nouvelle histoire en pompant les chansons des 4.
Demain le silence est un texte très intéressant! Beau cadeau de toi à toi 😉
Merci de ton retour, j’espère qu’il ne trainera pas trop longtemps en PAL..