Après les conférences du samedi, un bon petit resto et une nuit dans un charmant petit hôtel du côté des jardins du Luxembourg, nous voici de retour à Bagneux pour sa Zone Franche.

Il est un peu moins de 11h du matin quand nous arrivons sur le festival et déambulons dans les stands :

Pendant ce temps se tient la table ronde animée par Jérôme Vincent Auteurs, faites-vous relire ! La bêta-lecture avec Paul Beorn et Thomas John, Sylvie Philippart de Foy, Maud Kitsune G.

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Nous nous installons tranquillement pour écouter Jean-Claude Dunyach, Sylvie Lainé et Laurent Queyssi disserter avec Christophe de Jerphanion sur le thème Fabriquer et vendre son livre numérique. Jean-Claude Dunyach, après quelques expérimentations, nous a livré le fruit de ses cogitations, s’opposant parfois à Sylvie Lainé avec laquelle je ne peux qu’être d’accord quand elle évoque la déshumanisation de nos rapports sociaux.

A 14h nous n’avons pas assisté à la conférence sur Perry Rhodan

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Nous avons préféré rejoindre Stephen Baxter, Roland C. Wagner, Jean-Claude Dunyach, Raphaël Granier de Cassagnac et François Hammer que Laurent Kandel passait sur le grill (si si voyez cette couleur rouge barbecue due aux spots de la scène…) sur le thème Science-fiction et recherche  en astrophysique : influences réciproques ? La conférence peut s’écouter ici.

A 15h30 s’est tenu une conférence à laquelle je n’ai pratiquement rien compris (mais alors rien de rien mis à part, peut-être, la vulgarisation de la théorie des univers chiffonnés). Trou noir, trou de ver et énergie du videréunissait Jean-Michel Alimi, Pierre Bordage et Laurent Genefort sous la houlette de Laurent Kandel. Et j’avais oublié à quel point le temps peut sembler long quand on ne comprend pas ce qui se dit. Il faisait chaud et j’ai cru que j’allais m’endormir. Si, comme moi, une séance de rattrapage vous tente, c’est ici que ça se passe.

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