Comment a vécu la Pile à lire (PàL ou PAL) en avril ? S’est-elle goinfrée ? Mise au régime avant l’été suivant ainsi toutes les injonctions à la minceur étalées sur les couvertures des magazines ? Voyons donc les entrées et sorties du mois d’avril.
Du côté des entrées au format papier, la PAL est loin de se goinfrer. Elle se met sous la dent Pierre-de-vie de Jo Walton, sous forme d’épreuves non corrigées (une chronique pour Bifrost, ce qui lui assure une sortie rapide de la PAL)
Ce qui vient ensuite n’entre pas en PAL et sans tricherie aucune. J’ai eu l’immense plaisir de recevoir le format poche de Que passe l’hiver de David Bry. Ce roman paru en grand format chez L’homme sans nom a été un immense coup de coeur et je suis heureuse de le voir vivre une seconde vie chez Pocket. David Bry sera présent aux Imaginales et Stéphanie Nicot a eu le bon goût de le choisir comme auteur coup de coeur de l’édition 2019.
Vient ensuite le dernier numéro de Bifrost, son enveloppe intacte et son bulletin de réabonnement.
Au format numérique, j’ai reçu Terminus de Tom Sweterlitsch, lui aussi à chroniquer pour Bifrost.
Ce qui nous donne 2 entrées dans la PAL.
Voyons les sorties à présent :
- Terminus de Tom Sweterlitsch (hé hé)
- La Trilogie de la Lune de Johan Heliot (qui ne figurait pas dans la PAL et dont la critique se retrouvera dans Bifost)
- Des nouvelles « La Route de Sinharat » de Leigh Brackett, « Poneys » et « Mêlée » de Kij Johnson (ces deux derniers textes ont été lus sur le site de la revue Angle mort)
Ce qui nous fait une sortie de la PAL principale.
Au total, avec une sortie pour 2 entrées la Pile à lire prend un peu plus de hauteur et s’établit donc à 310 livres. La PàL des nouvelles et novellas remonte à 72.
Côté chroniques, j’ai rattrapé celles de L’Empire du Léopard d’Emmanuel Chastellière et de Sorcières associées d’Alex Evans. J’ai aussi fait un rapide compte-rendu de l’expo Siudmak et de Livre Paris. et comme d’habitude, je cours encore derrière le temps.
Cette fois on termine en musique avec un groupe de métal issu de Mongolie :
Quelle grosse PAL … Sinon ça ne t’a pas motivé à lire plus vite le métal en musique de fond ? 🙂
La musique me motive à chroniquer. Je ne l’entends pas quand je lis (le monde extérieur s’efface complètement)
Génial ce groupe!!!! 😀 Merci pour la découverte!
Avec plaisir 🙂
Comme quoi, s’il en fallait la preuve, une couverture c’est quand même pas mal pour rendre un peu plus attractif un livre. =P
(cela dit, cet argument pourrait se voir opposer que la seule mention de « Jo Walton » rend ce livre attractif. ^^)
Sur Insta, cette absence de couverture m’a valu un nombre de like plus important que d’habitude : comme quoi une couverture, c’est surfait 😉
Que passe l’hiver, une excellente lecture faite l’été dernier
Après le métal néo-zélandais, le mongolien est très chouette aussi ^^
Je te rejoins sur Que passe l’hiver. Il mérite bien une seconde vie en poche !
Le métal c’est de toute façon très chouette 😉