Comment se porte la Pile à lire (PàL ou PAL) en mai ? C’est pas si pire comme disent certains. Voyons en détail sa petite vie ce mois-ci et faisons le point sur les entrées et sorties de mai.
Du côté des entrées au format papier, les Imaginales auraient pu devenir un piège fatal. Tellement de livres tentants, tellement d’auteurs qui ont l’art de donner envie… J’ai craqué, mais essentiellement sur du format court aux éditions 1115 : des nouvelles avec « Le Roi de la Clairière suivi de Ce que l’homme croit » de David Bry, « Visite fantôme » de Luce Basseterre et « Céder la place » d’Emmanuel Quentin et, trois novellas avec Sur Mars d’Arnauld Pontier, Les Jardins du Feu et du Vide de Nicolas Le Breton et Celle qui portait l’orylium de Paladine Saint-Hilaire.
J’ai aussi craqué pour Parmi les vestiges, le dernier tome des Temps assassins de Pierre Léauté (chez Mü). Celui-là entre en PAL.
Le réabonnement à Bifrost m’a permis de recevoir Envahisseurs d’Andrew Weiner (et un catalogue)
Et on m’a offert un livre de recettes : Gastronogeek, 42 recettes inspirées des cultures de l’imaginaire de Thibaud Villanova et Maxime Léonard. Il n’entre pas en PAL (reste à voir si on parviendra à réaliser une seule de ces recettes).
Au format numérique, j’ai reçu La Fureur de la terre, Les Dieux sauvage T3 de Lionel Davoust, à chroniquer pour Bifrost.
Ce qui nous donne 3 entrées dans la PAL.
Voyons les sorties à présent :
- Pierre-de-vie de Jo Walton (lu pour Bifrost)
- Les Uchronautes, Les Temps assassins T2 de Pierre Léauté
- Des nouvelles : « La Malédiction de Bisha » de Leigh Brackett, Le Roi de la Clairière suivi de Ce que l’homme croit » de David Bry, « Visite fantôme » de Luce Basseterre et « Céder la place » d’Emmanuel Quentin
- Le Garçon et la ville qui ne souriait plus de David Bry
Ce qui nous fait trois sorties de la PAL principale.
Au total, avec trois sorties pour 3 entrées la Pile à lire se maintient à 310 livres. La PàL des nouvelles et novellas remonte à 75.
Côté chroniques, j’ai rattrapé celles des nouvelles « La Route de Sinharat » et « La Malédiction de Bisha » de Leigh Brackett et « Mêlée » et « Poneys » de Kij Johnson et j’ai rapatrié une critique publiée dans un précédent Bifrost : Mirror de Karl Olsberg. J’ai aussi fait un premier retour à chaud sur les Imaginales.
Et pour fêter le retour du Summer Star Wars avec l’Orchestre symphonique national du Danemark, on termine sur ceci (mais allez écouter le Duel of the Fates et The Good, the Bad and the Ugly).
Au vu des piles d’achats de ceux qui sont allés aux Imaginales cette année, j’ai l’impression que les éditions 1115 ont fait de bonnes affaires. Reste à espérer que le contenu soit au niveau de la très belle maquette. 😉
Sur Mars est vraiment sympa et la nouvelle d’Emannuel Quentin surprenante.
J’aime bien cette maison d’édition.
Oui. Ce sont de beaux petits objets aussi (un peu comme ce que font les éditions Scylla et Dystopia)
Tu t’en es bien tirée malgré les Imaginales au final ! Je trouve le Gastronogeek superbe. Mais effectivement, les recettes, c’est du boulot !
Oui, pour les imaginales c’était assez facile : il a fait beau et les pelouses nous attendaient 😉
Les recettes sont très alléchantes (mais un poil un cran au dessus de nos capacités culinaires huhu…)
310+75 = 385.
Indigestion de livres encore une fois.
Mouhaha.
Meuh non.
« Quand je pense à tous les livres qu’il me reste à lire, j’ai la certitude d’être encore heureux. » 385 moments de bonheur :p
Certains j’ai des doutes quand même… Mais j’ai déjà d’autres auteurs que je découvre (Peter Watts, Peter F. hamilton, …)