Bon janvier est déjà derrière nous et j’suis dépassée par le temps. Que s’est-il passé en janvier 2023 sur le blog et en ce qui concerne la PAL ?  Revue de détail ci-dessous.

Du côté des entrées, quelques titres ont nourri la PAL. Commençons par des titres en lice pour pour le Prix ActuSF de l’uchronie : Anarchy in the USE de John King, Sur la Lune de Mary Robinette Kowal et la Trilogie du Singe recueil de nouvelles uchroniques de Pierre Léauté.

 

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Poursuivons avec Paideia premier roman (intrigant) de Claire Garand

 

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Et bien sûr le dernier numéro de Bifrost

 

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Ce qui nous fait 4 entrées dans la PAL principale.

Du côté des sorties, rien, nada, nothing. J’ai commencé Morgane Pendragon de Jean-Laurent Del Socorro (ça se lit tout seul, sachez-le) et poursuivi un peu en audio Celle qui devint le soleil de Shelley Parker-Chan.

La PAL principale grimpe donc à 345 titres et la PAL des nouvelles et novellas reste à 75 titres.

Côté blog, les traditionnels exercices de bilan ont été réalisés : un bilan de blog et un bilan des lectures et de la vie de la PAL. Le dernier billet sur les Utopiales est paru (j’ai failli oublier) et j’ai écrit quelque mots sur Noir est le sceau de l’enfer de Jean-Laurent Del Socorro. Côté réseaux sociaux, j’ai réussi l’automatisation du blog vers Twitter, mais pas celle vers la page FB du blog ni vers Mastodon. Pour recenser les sorties de PAL de cette année, je n’ai pas ouvert de fil Twitter. Les lectures en cours feront l’objet d’un post sur Instagram (comme celui-ci) avec un visuel spécifique travaillé en collaboration avec Anne-Laure du blog Chut Maman Lit.

Côté images qui bougent, j’ai levé le pied. Pas de cinéma en janvier (ceux qui suivent sur Insta auront noté que Avatar 2, c’était une séance en février). Dans le canapé, j’ai vu moins de films mais de bien meilleurs : le très bon et sans concession Steve Jobs de Danny Boyle (avec un Michael Fassbender qui n’a pas le physique du rôle mais qui assure) et l’excellent et vertigineux Trois mille ans à t’attendre de George Miller (surprise on a aimé tous les deux). J’ai aussi vu Jexi, une comédie romantique de SF (si, si ça existe, j’étais curieuse et, même si c’est tout à fait dispensable, j’ai ri aux geekeries). En série j’ai commencé This is us, mais à dose homéopathique parce que c’est chargé émotionnellement.

Et on termine en musique avec un vieux truc qui redonne le moral