Février est derrière nous, après 29 jours dont 20 de pluie et de morosité. Côté pile on pense aux inondés du Pas-de-Calais qui n’en peuvent plus de toute cette eau qui noie habitations et transforme les champs en marécage. Côté face, on se réjouit du remplissage des nappes phréatiques qui nous évitera la sécheresse cet été (mais un marécage a-t-il besoin d’être arrosé ?). La pluie semble vouloir nous accompagner aussi en ce début du mois de  mars et pour la morosité qui l’accompagne, on verra. Il est temps de se pencher sur la vie de la PAL et sur celle du blog. Du côté de la Pile-à-lire, quelques nouvelles entrées ont été enregistrées ? Et que s’est-il passé sur le blog ?

Au format papier, peu d’entrées. Pour le prix ActuSF de l’uchronie, j’ai reçu Noblesse Oblige de Maiwenn Alix dans un très beau packaging (et je n’ai pas encore goûté le thé).

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Karine Lhisbei (@lhisbei)

La PAL des Nouvelles et Novellas s’enrichit de deux entrées, dans le cadre de l’abonnement mensuel ChronoPages des éditions 1115 : “Album culte” de Louise Roullier (j’avais beaucoup aimé son roman Grain de sable“) et un recueil de deux courts textes dans un hors-série semestriel (un Wiménon) disponibles uniquement dans l’abonnement et seulement en format papier qui contient “Le fruit de leurs entrailles” d’Estelle Faye et “L’œuf” d’Arnauld Pontier.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Karine Lhisbei (@lhisbei)

En numérique, j’ai reçu, toujours pour le prix ActuSF de l’uchronie, Le Silène assassiné, premier tome du Huitième Registre d’Alain Bergeron et Zeta-1 année zéro de Donna Barba Higuera.

Ce qui nous fait 3 entrées dans la PAL principale et deux entrées dans la PAL des Nouvelles et Novellas.

Du côté des sorties, on trouve ces titres

• Les Dieux de jade et d’ombre de Silvia Moreno-Garcia (chronique dans un prochain Bifrost)
• Aquamarine de Carol Anshaw (billet à venir)
• Protectorats de Ray Nayler (billet à venir)

Ce qui nous fait 3 sorties de la PAL.

En audiolecture, je suis toujours plongée dans La vallée du lotus rose de Kate McAlistair (lu par Ludmila Ruoso).

Avec 3 sorties pour 3 entrées, la PAL principale reste stable. La PAL des nouvelles et novellas monte à 91 titres.

Côté blog, j’ai refermé l’album souvenir des Utopiales 2023 avec le billet consacré aux conférences du samedi puisque sur cette édition nous n’avions pas pu rester jusqu’au dimanche soir. J’ai rapatrié des chroniques initialement publiées dans Bifrost : Grain de sable de Louise Roullier et La Fureur des siècles de Johan Heliot Et les publications prévues  entre le 25/02 et aujourd’hui ne sont pas parues. Pourquoi ? Parce que, cyberquiche que je suis, je les ai laissées au statut “brouillon”.  Pour une blogueuse expérimentée, ça se pose là, non ? Donc les chroniques de Second Sorcier et Aquamarine seront publiées en mars avec celle de Protectorats qu’il me reste à écrire et avec le premier bilan – qui aurait du être publié le 26 – du challenge hommage à Ayerdhal :  365 jours avec Ayerdhal.

En ce qui concerne les films et séries, nous avons visionné la saison 2 de Fondation. Lee Pace est excellent, et pour le reste je me suis ennuyée pendant toute la première moitié de cette saison. Notez que c’est mieux qu’avec les bouquins, que j’ai laissé tomber assez vite, par ennui total (d’Asimov j’avais, et de loin, préféré sa série sur le Club des veufs noirs, allez savoir pourquoi). Au ciné, nous avons réalisé un marathon Dune en visionnant les deux films vendredi soir, l’un après l’autre (bon techniquement, c’est en mars mais d’ici le bilan l’eau aura coulé sous les ponts – et on a espéré que ce ne soit que sous les ponts). Après une semaine de boulot et des nuits d’insomnies ce n’est pas la meilleure des idées, à la base, mais c’est quand même assez excitant et à deux heures du mat, complètement claqués mais heureux, ça nous a quand même paru être une méga bonne idée. Bref, on a vu Dune. Un avis : c’est bien, tragique, guerrier, messianique, avec des longueurs (dans le bouquin il y a des longueurs aussi), un peu pompeux parfois (le bouquin l’est aussi), M Lhisbei n’est pas convaincu par T Chalamet en Muad’Dib et moi j’essaie de trouver ce qui m’a manqué pour avoir envie de chevaucher un ver des sables.

On termine en musique avec un autre vieillerie (la vieillesse c’est dans la tête, on vous dit)