Pour suivre nos Imaginales 2021 dans leur intégralité, lire les précédentes éditions spéciales : n°1, n°2 et n°3. Le précédent billet était consacré aux conférences du du jeudi et du vendredi. Celui que vous allez lire sera consacrés aux conférences du samedi et du dimanche.
Le samedi 16, nous avions prévu d’assister la table-ronde Une autrice majeure à redécouvrir : Ursula K. Le Guin (captation chez ActuSF), au Grand entretien avec Samantha Shannon (captation d’ActuSF ici) et à la Remise des prix Imaginales. Nous n’avons absolument pas suivi ce programme, mis à part la cérémonie de remise des prix évoquée dans un précédent billet puisque nous y remettions aussi, Cédric Jeanneret et moi, le Prix Planète-SF des blogueurs 2021.
Nous avons pourtant été matinaux, puisque nous étions sur site dès 10h pour la Rencontre avec Ugo Bellagamba, animée par Bertrand Campeis. Je n’ai pas trouvé de captation et me croirez-vous sur parole si je vous dis que c’était très bien ? Toutes les photos de C. Schlonsok sont visibles dans cette publication.
Grosse éclipse temporelle jusque 16h (un restaurant et un dessert au chocolat dantesque qui m’a laissée KO) pour rejoindre la table-ronde de 16h autour du Space opéra… Le nouveau rêve de la frontière ? animée par Jean-Luc Rivera avec Pierre Bordage, Florestan de Moor, Loïc Henri et Floriane Soulas. J’étais tellement KO que je me suis endormie sur l’épaule de l’homme qui fait les photos (et au premier rang, on ne peut pas faire plus mortifiant) au beau milieu de la conférence pourtant intéressante. Même problème que plus haut, je n’ai pas trouvé de captation. Toutes les photos de C. Schlonsok sont visibles dans cette publication.
A 17h, direction la table-ronde sur l’anthologie uchronique autour de Napoléon. Et si Napoléon… L’empereur dans tous ses états avec Ugo Bellagamba, Bertrand Campeis, Éric Labourel, Laurent Poujois et Stéphanie Nicot à la modération. La qualité était au rendez-vous – normal au vu des intervenants et mention spéciale au passionnant Éric Labourel de l’association les Vosges Napoléoniennes. Je n’ai pas trouvé de captation de la table ronde (encore) mais Toutes les photos de C. Schlonsok sont visibles dans cette publication.
Le programme du dimanche 17 fut respecté à la lettre et nous primes même la liberté d’assister à une conférence supplémentaire. J’ai déjà évoqué Accueillir, écouter, protéger… Pour en finir avec le sexisme dans l’édition ! dans une précédente entrée. Après un resto oriental avec cette fois une salade de fruits en dessert (il faut bien se montrer raisonnable parfois), direction la table-ronde de 14h sur Ces écrivains ont de l’humour… Et c’est pas triste ! avec Karim Berrouka (qui semble trouver marrant qu’on le trouve drôle), Jean-Claude Dunyach, Thomas C.Durand et Clément Pélissier à la modération. Le sujet est toujours un peu casse-gueule en table-ronde avouons-le et les trois intervenants se complétaient plutôt bien. Toujours pas de captation. Toutes les photos de C. Schlonsok sont visibles dans cette publication.
Enfin à 15h, nous avons terminé le programme des conférences avec le Grand entretien avec Alix E. Harrow – un temps fort, pour moi de ces Imaginales 2021 car j’avais beaucoup aimé sa nouvelle publiée dans le Bifrost n°99, « Guide sorcier de l’évasion : atlas pratique des contrées réelles et imaginaires ». Sur scène, nous avions Alix E. Harrow, Brigitte Leblanc son éditrice en France, Claudine Carpenter à la traduction et Virginie Bazart à la modération. La table ronde se réécoute ici (enfin une captation). Toutes les photos de C. Schlonsok sont visibles dans cette publication.
Il ne nous reste plus qu’à évoquer un dernier temps fort de ces Imaginales 2021 avant de refermer le livre de nos souvenirs. Restez en ligne !
Photos par C.Schlonsok tous droits réservés à l’auteur