Septembre est dernière nous, les vacances aussi. La seconde moitié de ces dernières s’est révélée pleine de surprises, bonnes (bonjour Otto le pouple viennois made in China) ou moins bonnes (mais rien de catastrophique – surtout au regard des +1,5°C de réchauffement qui nous attendent vraisemblablement autour de 2030). Le blog, lui a été monopolisé par le Summer Star Wars, logique en cette période et en prime c’était fun. Et la PAL dans tout ça ? Comment a-t-elle vécu son mois de septembre ?
Commençons par les entrées. Au format papier, j’ai reçu La Ville dans le ciel de Chris Brookmyre et Vers Mars de Mary Robinette Kowal (j’avais eu un coup de coeur pour Vers les étoiles et Lady Astronaute).
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Au format numérique j’ai reçu, pour Bifrost, Les portes perdues, Les enfants indociles T1 une novella de Seanan McGuire et fait l’acquisition de Tout ce que dit Manon est vrai de Manon Fargetton, une autofiction, genre que je lis peu.
Soit 4 entrées au total.
Du côté des sorties,
- Les tambours du dieu noir suivi de L’étrange affaire du djinn du Caire de P. Djèlí Clark (billet à venir)
- Le Mystère du Tramway hanté de P. Djèlí Clark (billet à venir)
- Je n’aime pas les grands de Pierre Léauté (relecture)
- Tout ce que dit Manon est vrai de Manon Fargetton dont j’ai dit quelques mots sur Instagram.
- Mexican Gothic de Silvia Moreno-Garcia (billet à venir)
Ce qui nous fait 5 sorties pour 4 entrées. La PAL baisse un peu pour garder la vertigineuse hauteur de 319 livres. Pas de sortie pour la PAL des Nouvelles & novellas qui culmine toujours à 68 titres.
Côté blog, l’activité se maintient un peu, mais ce n’est pas folichon. J’accumule toujours du retard même si j’ai rattrapé les chroniques d’Émissaires des morts d’Adam-Troy Castro et Aucune terre n’est promise de Lavie Tidhar (en lice pour le Planète-SF des blogueurs). Côté série, nous avons commencé à visionner Fondation (on kiffe et, personnellement je garde très peu de souvenirs des romans puisque j’ai calé à peu de choses près au milieu du premier tome de l’intégrale offerte avec amour par M. Lhisbei – j’ai honte). Côté ciné, nous sommes allés voir Dune ou plutôt « Dioune » (un lundi soir, gage d’une salle au trois-quart vide).
On termine en musique parce que ce titre est de circonstance et d’actualité (15/12/2021)
Une autofiction, quoi qu’est-ce ?
Sinon les Lunes d’encre je plussoie. Vers Mars sera ma prochaine lecture…
Une fiction autobiographique ou plus (un détournement d’éléments autobiographique qui donne naissance à une fiction.
Merci, bref c’est une quasi-autobiographie ! :p
Je ne pense pas. Déjà que l’autobiographie reste une fiction de sa vie, puisque tu choisis ce que tu montres et l’angle sous lequel tu le montres… là la liberté romanesque est plus grande. Tu peux par exemple faire une chronologie des événements différente. Faire advenir plus tôt ou plus tard ou de manière concomitante certains éléments. Ça brouille les repères.
Quelle grosse PAL. Otto n’a même pas mangé une petite partie d’icelle. 😛
Nan. il n’est pas gourmand 😉
« Je n’aime pas les grands de Pierre Léauté (relecture) » : ah tiens, c’est marrant, je viens de le lire aussi. Tu l’as relu pour un certain Prix ? ^^
Oui. Relu avec plaisir pour un certain prix 😉
Bonne nouvelle pour Fondation, j’avais vu passer sans y prêter trop d’attention des retours pas hyper positifs. Je m’abonnerai chez Apple TV pour un mois ou 2 courant novembre pour voir cette première saison et For all mankind ^^
Ah mais oui 🙂 Fondation divise pas mal mais comme j’ai tout oublié des bouquins, ça passe crème (mais il ne faut pas être attendre une scène d’action toutes les 12 minutes… 😉 )