En mars 2020,  la PAL se gavait pendant que nous vivions notre premier confinement, un confinement quasi total. Sur mon lieu de travail nous étions deux le matin (contre une quarantaine de personnes en temps normal), le reste du temps, en télétravail. L’autoroute – oui, j’emprunte une autoroute pour aller bosser, mais les autoroutes ce n’est pas ce qui manque chez nous (A1, A2, A21, A16, A23, A25, A26 vous avez le choix…) ressemblait à ceci et j’aurais pu y croiser Will Smith. Il ne manquait plus que les zombies…

Qu’en est-il une année plus tard ?

Du côté des entrées au format papier, Je n’aime pas les grands de Pierre Léauté, Aucune terre n’est promise de Lavie Tidhar et Mort et vie du sergent Trazom d’Olivier Boile, les trois pour le prix ActuSF de l’uchronie.

 

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En numérique, toujours en lien avec l’uchronie, sont entrés en PAL le Traité de chronoportation aux éditions Oneiroi (oups pas de photo) et Célestopol 1922 d’Emmanuel Chastellière.

 

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Et comme si la PAL dantesque ne suffisait pas, je suis allée piocher du côté du réseau des bibliothèques de Paris Isola un thriller uchronique (oui, encore) de la suédoise Åsa Avdic.

Ce qui nous fait 6 entrées. La Pile à lire se gave encore.

Du côté des sorties, quelques jours de congés autoconfinés (avec une grande surface de bricolage fermée, youpi – depuis la prise de mesures plus restrictives dans les Hauts-de-France, il a pu rouvrir, allez comprendre, donc moins youpi) ont permis de taper dans la PàL. Les sorties de mars :

• Issa Elohim de Laurent Kloetzer (billet en retard)
• La fin des étiages de Gauthier Guillemin
• American Royals T2 – Sa Majesté de Katharine McGee (mini-chronique sur Instagram : ici)
• Isola d’Åsa Avdic (billet à venir)
• L’Enfant de la prochaine aurore de Louise Erdrich, en lecture commune avec  Lune, Célindanaé et Vert sur le forum du Planète-SF. Chronique à venir.
• Traité de chronoportation de Nostramus (mini-chronique sur Instagram : ici)
• Opération Lorelei, troisième et dernier tome de la série Monts et Merveilles de Nicolas Texier (mini-chronique sur Instagram : ici)

En parallèle, en audio, je suis toujours plongée dans les aventures de Lady Victoria Georgiana Charlotte Eugenie de Rannoch dans Son Espionne royale et le mystère bavarois de Rhys Bowen. Tatiana Werner, la lectrice, est formidable et ça me change l’air – entre les dramas sur les réseaux sociaux, le boulot qui m’use et le contexte sanitaire, c’est une vraie bouffée d’oxygène.

Ce qui nous fait 6 sorties de la PAL principale et 1 sortie de la PAL des nouvelles et novellas.

Faisons les comptes : 6 entrées pour 6 sorties de la Pile à lire principale pour un solde stable à 319 titres et une sortie de la PAL des nouvelles et novellas pour un solde à 63 titres.

Côté chroniques, grande flemme de bloguer, d’où les trois mini-chros sur Insta. Côté cinéma, nous avons revu des mauvais films (oui, nous sommes désespéré : La Ligue des Gentlemen extraordinaires, Highlander 2 et Highlander 3) mais aussi Radioactive, un biopic sur Marie Curie que nous vous conseillons. Toujours côté uchronie, signalons ce prototype de jeu basé sur le Paris des Merveilles de Pierre Pevel. Les personnages et le ton respectent l’œuvre originale. Très plaisant à jouer (surtout pour une non joueuse), même si on fait vite le tour.

Terminons en musique avec un barbu norvégien, Leo Moracchioli (cette barbe me fait penser à quelqu’un, mais qui) et cette reprise épique d’un titre de Abba (merci Tony pour la découverte).