Hop ! Le mois de mars est passé à la trappe. Côté météo, il ressemblait beaucoup à son prédécesseur : que d’eau, que d’eau. Pour le reste, le printemps est arrivé et je peux à présent dire que j’ai passé l’hiver sans soutien médicamenteux contre la dépression saisonnière qui ne me lâche pas les basques depuis, pfff, trop longtemps (et sa copine anxiété n’étant jamais bien loin, j’irais bien hiberner pendant tout l’hiver). Conséquence : j’en suis heureuse (et un peu fière aussi d’avoir géré les coups de mou, le brouillard mental et l’impression dé marcher embourbée dans la mélasse sans médoc) et je peux interagir à peu près normalement avec le monde (pas trop, quand même, elle est confortable ma grotte).  Mais trêves de bavardages, il est temps de se pencher sur la vie de la PAL et sur celle du blog. Du côté de la Pile-à-lire, quelles nouvelles entrées ont été enregistrées ? Et que s’est-il passé sur le blog ?

Au format papier, quelques entrées avec tout d’abord “Vers le silence”, un jeu de rôle épistolaire de science fiction de Craig Duffy (traduit par Erwan Devos et Hermine Hémon) avec des nouvelles de inédites Jean-Laurent Del Socorro, Émilie Querbalec et Floriane Soulas, en financement participatif.

 

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Dans le cadre de l’abonnement mensuel ChronoPages des éditions 1115, j’ai reçu “Rivages du grand lac” de Camille Leboulanger

 

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Et pour une chronique dans Bifrost j’ai reçu les deux premiers tomes (sur les 7 que compte la série) du Volume du temps de Solvej Balle, une histoire de boucle temporelle.

 

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Ce qui nous fait 2 entrées dans la PAL principale et 2 entrées dans la PAL des Nouvelles et Novellas (je compte “Vers le silence” dans cette PAL).

Du côté des sorties, on trouve ces titres

• Le Chemin de la Mort poudreuse de Francesca Theosmy
• Noblesse Oblige de Maiwenn Alix
• Auto-Uchronia ou Fugue en zut mineur de Francis Berthelot (billet à venir)
• Le silène assassiné, Le huitième registre T1 d’Alain Bergeron (billet à venir)

Ce qui nous fait 4 sorties de la PAL.

En audiolecture, je suis un peu enlisée dans La vallée du lotus rose de Kate McAlistair (lu par Ludmila Ruoso). Je pense que je vais varier un peu. J’ai de toute façon besoin de varier les plaisirs.

Avec 3 sorties pour 2 entrées, la PAL principale baisse à 345 titres. La PAL des nouvelles et novellas monte à 93 titres.

Côté blog, en plus d’avoir écrit un billet sur une bonne partie des sorties du mois, j’ai rattrapé les chroniques de Aquamarine de Carol Anshaw, Second sorcier, Ars Obscura T2 de François Baranger et Protectorats de Ray Nayler. Et c’était un bon rythme jusqu’au 20 du mois. Comme le challenge  365 jours avec Ayerdhal se lance doucement, avec une chronique de Balade choreïale par Baroona du blog 233°C, on attend un peu pour faire un bilan :). Côté vraie vie, j’ai participé au premier enregistrement d’un club de lecture SFFF en podcast, pour ActuSF. J’y ai présenté deux coups de coeur : Protectorats de Ray Nayler et Dans la tête de Sherlock Holmes de Cyril Lieron, Benoit Dahan. C’était sympa et plaisant à faire, même si je n’aime pas le son de ma voix et qu’il faut que je respire (et ce n’est rien de le dire). Nous sommes allés faire un tour à Trolls&Légendes à Mons, Belgique, M. Lhisbei pour y faire des photos, et moi pour dédicacer sur le stand des (nouvelles) éditions ActuSF (billet à venir).

En ce qui concerne les films et séries, nous sommes plongés dans For All Mankind saison 4. J’aime toujours beaucoup mais les sorties dans l’espace, milieu hostile à la vie, me fichent toujours autant la trouille. Au ciné, nous avons revu Dune deuxième volet – parce qu’on en avait envie. Nous sommes allés écouter un concert piano Chopin rencontre les Beatles par un pianiste polonais, Wojciech Waleczek. C’était intéressant, avec un pianiste habité (et qui s’éclate visiblement autant sur les Beatles que sur Chopin et se lâche un peu plus sur les titres de Beatles, ceux de Chopin s’y prêtant moins). Pour ma part, j’avais oublié à quel point Chopin pouvait être déprimant (vraiment plombant) et j’ai pu constater que, même si je n’étais pas fan des Beatles, je reconnaissais toutes les mélodies jouées (ce qui n’est pas un exploit convenons-en).

On termine en musique avec ce titre (et non, pas du Chopin mais ça commence par la même lettre et, si le titre commence à dater, le groupe tourne encore)