Ils ont rejoint ma PAL (161)

Alors que la France s’enflamme (ou pas) pour les Jeux Olympiques et polémique sur la cérémonie d’ouverture qui a mis en PLS l’extrême droite et la frange la plus conservatrice de nos concitoyens (petit bonheur bien agréable dans une région rongée par cette même extrême droite) je patiente, aspirant à des vacances bien méritées (la fatigue commence à se faire sentir). Il est temps d’évoquer la vie de la PAL et du blog ? Quels titres ont rejoint ou quitté ma Pile-à-lire ce mois-ci ? Passons tout ça en revue.

Du côté des entrées au format papier, la nouvelle du mois dernier reçue dans le cadre de l’abonnement ChronoPages : “La lisiothécaire” de Mafalda Vidal

 

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Et celle du mois en cours : “Le Gardien Blanc” de Norman Jangot

 

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Pour le prix ActuSF de l’uchronie, j’ai reçu Demain même heure d’Emma Straub (dont nous avions raté la sortie en grand format et que nous rattrapons en poche) et Sorcier Empereur troisième tome de la série Ars obscura de François Baranger

 

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Et le dernier Bifrost en date consacré à James Tiptree, qui comme son nom ne l’indique pas est une femme, ce qui suffit probablement à justifier la couv cliché (on en a parlé sur le forum du Bélial et je vous renvoie à mon post).

 

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En numérique, les deux titres à rattraper pour le prix Planète-SF des Blogueurs ont rejoint ma liseuse : La maison des soleils d’Alastair Reynolds et Zona Cero de Gilberto Villarroel. J’ai presque terminé le premier.

Ce qui nous fait 4 entrées en PAL principale et 2 entrées dans la PAL des Nouvelles et novellas.

Du côté des sorties, faisons le point. J’ai :

  • lu et chroniqué dans la foulée, un audiolivre, Défaillances systèmes le premier tome de la série Journal d’un AssaSynth
  • abandonné (définitivement) Appleseed de Matt Bell. Trois temporalités pour évoquer la destinée de l’humanité (l’aurore, le grand jour et le soir) et beaucoup de trop symbolisme pour quelqu’un comme moi.
  • lu et chroniqué La Millième nuit d’Alastair Reynolds (prélude à la lecture de La maison des Soleils)

J’ai aussi bien avancé dans l’audiolecture de Schémas artificiels, deuxième tome de la série Journal d’un AssaSynth de Martha Wells. Je pense que je dépenserai avec joie mon crédit mensuel dans cette série.

Avec 1 sortie pour 4 entrées, la PAL principale remonte à 353 titres. Avec 1 sortie pour deux entrées, la PAL des nouvelles et novellas monte à 105 titres.

Côté blog, petit rythme encore mais en amélioration car je ne prends plus de retard même si je n’avance pas assez vite à mon goût. En plus des billets sur titres lus et les billest habituels (la vie de la PAL, les parutions du mois) , le Summer Star Wars Ahsoka a fait sa première escale et j’ai commencé la série de billets sur les Imaginales : l’ambiance et les conférences du jeudi. Je prévois de terminer en août cette série de billets. En rédigeant ce billet, je me suis rendue compte que je peux rapatrier 3 chroniques bifrostiennes d’il y a… pfff.. longtemps. Je prévois ça pour septembre.

En juillet, j’ai aussi participé au club de lecture d’ActuSF. Nous avons donné chacun un conseil de lecture et un film. Pour l’occasion, j’ai choisi le film The Creator de Gareth Edwards à qui l’on doit Rogue One: A Star Wars Story en 2016 et L’homme superflu de Mary Robinette Kowal (mon avis détaillé est dans le dernier Bifrost).

Côté ciné, c’est la fête : on a enchaîné deux films français et un film américain. D’abord, Elyas une agréable surprise malgré quelques défauts, avec un Roschdy Zem impressionnant. Ensuite, Le Comte de Monte-Cristo. Étant une fan absolue du roman, j’avais un peu peur. Cette adaptation prends quelques libertés avec le texte original mais s’en sort très bien. Le montage et la narration sont dynamiques, les ellipses bien gérées, et les trois heures passent sans aucun temps mort. Seul bémol : les dialogues semblent parfois déclamés, manquant de naturel et c’est bien dommage. J’avais des doutes sur la capacité de Pierre Niney à incarner le Comte, mais il est tout simplement excellent. Côté USA, nous avons vu Twisters qui est présenté comme une suite du Twister de Jan de Bont de 1996 mais qui ressemble plus à un reboot qu’autre chose. Ce film vous donne exactement ce qu’il promet. Il est parfait pour un été caniculaire où tout a fondu y compris vos neurones…

Côté canapé, nous avons rattrapé The Creator en VOD. En pleine guerre entre IA et humains, un ex-agent des forces spéciales est chargé de traquer le Créateur et sa nouvelle arme capable de détruire l’humanité : une IA supérieure incarnée dans le corps d’un enfant. Le film explore des questions complexes sur l’avenir de l’IA, la nature de l’humanité, et les frontières de l’amour, sans offrir de réponses simples ni manichéennes. Visuellement, il m’a rappelé des films sur la guerre du Vietnam et la critique de l’ingérence américaine est frappante. Une belle claque, et je regrette de ne pas l’avoir vu au cinéma.
Côté séries, nous avons terminé The Boys. La violence physique, avec les bruits de viscères écrasées et le sang qui gicle, devient de plus en plus difficile à supporter. Sans les personnages déjantés et les acteurs exceptionnels, surtout Karl Urban et Antony Starr, j’aurais décroché depuis longtemps. Nous avons aussi commencé Le problème à trois corps et poursuivi My Lady Jane, à petite dose. Dans l’épisode 3, j’étais là à me dire : “Mais bon sang, couchez ensemble ! Vous en avez tous les deux envie et vous êtes même mariés ! Pourquoi se compliquer la vie ? ”

As usual, on termine en musique avec une voix imparfaite mais qui fait fondre, trois notes de piano et une guitare qui pleure – Teddy Swims, Lose Control (quitte à faire dans la romance autant ne pas occulter son côté sombre)

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