Imaginales 2011 – Chapitre 6

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Lire le prologue, les chapitres 1 (people et dédicaces), 2 (conférences du jeudi et vendredi), 3 (expositions), 4 (conférences du samedi et dimanche) et 5 (re-expositions).

Le samedi soir, nous nous sommes rendus au Magic Mirror 2 (le plus grand), pour la remise de Prix Imaginales 2011. Nous avons été accueillis par une haie d’honneur constituée par de charmantes inconnues échappées d’une Venise carnavalesque. Heureusement que le Magic Mirror est grand parce qu’il était plein. La preuve (et encore nous sommes au début de la cérémonie, les retardataires ne sont pas encore arrivés)

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La remise des Prix Imaginales 2011  s’est tenue sans fioritures ni ostentation (mais toujours avec les fameux chats en plastique). Les discours de partenaires institutionnels ont été concis, ce qui prouve que, quand ils le veulent, nos hommes politiques peuvent faire des discours efficaces, porteurs de sens, sans endormir les foules (et en n’oubliant pas de remercier tous ceux qui le méritent, des organisateurs aux financeurs en passant par les éditeurs, les auteurs, les exposants et le public et tout ceux qui d’une manière ou d’une autre font vivre le festival), bref, si certains arrêtaient de s’écouter parler… Robin Hobb, marraine de cette édition, nous a également gratifiés de quelques mots. Et Bernard Visse s’est honteusement défilé sur Stéphanie Nicot … (la timidité est un fléau). Quelques photos des discours.

Le Prix Imaginales des Collégiens a été remis avec beaucoup d’émotion et de manière posthume à Pierre Bottero pour Les Âmes croisées (Rageot). C’est Gilles Francescano qui est venu chercher le prix.

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Le Prix imaginales des Lycéens a été remis à Samantha Bailly pour La Langue du Silence (éditions Mille Saisons).

Les membres du jury présidé par Jacques Grasser, adjoint au maire d’Epinal en charge de la Culture et du Patrimoine, Jacques Baudou, Anne Besson, Annaïg Houesnard, Jean-Claude Vantroyen, Jérôme Vincent et Bernard Visse ont ensuite remis les Prix Imaginales.

Le Prix spécial a été remis à Nicolas Fructus, David Camus, Mélanie Fazi, Raphaël Granier de Cassagnac et Laurent Poujois pour Kadath, le guide de la cité inconnue (Mnémos). Davis Camus et Mélanie Fazi sont monté sur scène:

Le Prix Imaginales de la Nouvelle a été remis à Yohan VASSE pour London Faerie Blitz, in Légendes 1 (Céléphaïs). Il a donc reçu un magnifique chat assorti à sa chemise (je le soupçonne d’une entente avec les organisateurs sur ce coup-là…)

Le Prix Imaginales de l’illustration a été remis à Elvire de Cock pour la couverture de Cytheriae de Charlotte Bousquet (Mnémos)

Le Prix Imaginales de la BD a été remis à Ange et Thierry Desmarez, pour Vengeances, Marie des dragons T2 (Soleil). Anne Guéro, première moitié de Ange est venue chercher un chat jaune.

Le Prix Imaginales Jeunesse a été decerné à Cornelia Funke pour Reckless (Gallimard Jeunesse), traduction : Marie-Claude. Son éditeur est monté sur scène et Stéphanie Nicot nous a fait lecture d’un courrier faxé par l’auteur.

Le Prix Imaginales catégorie Roman étranger traduit a été remis à Ken Scholes pour Lamentations (Bragelonne), traduction : Olivier Debernard. Stéphane Marsan est venu chercher le prix et lire un e-mail de l’auteur.

Et enfin, le Prix Imaginales du Roman Francophone a été remis à Charlotte Bousquet pour Cytheriae (Mnémos).

Photos de C.Schlonsok et Lhisbei tous droits réservés

Cet article a 3 commentaires

  1. Tigger Lilly

    Merci de nous faire partager ça, je n’y étais pas pour le coup à cette remise de prix :p

  2. Lhisbei

    @ Tigger Lilly : de rien c’est un excellent moment et je m’en aurais voulu de la rater. Et j’ai enfin pu toucher un de ces fichus chats (ils sont légers, en plastique creux et on dirait presque une bouteille de shampoing géante). J’adore ce kitsch[mdr]

  3. Cachou

    Fallait juste que je réagisse à propos de la statuette en forme de chat (voilà, ça, c’est fait).
    Ben c’était sa journée, à Charlotte Bousquet! Jamais lu la dame de mon côté. Je serais curieuse d’en savoir plus sur Loana (c’est bien le nom?), sa couverture ne m’inspirait pas trop.

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