Lire le prologue, les dédicaces, les conférences du jeudi (1) et (2) et les expositions (1) et (2).
Nous n’avons abordé que les conférences du jeudi pour l’instant. Passons à celles du vendredi, moins nombreuses que celles de la veille en partie parce qu’il commençait à y avoir du monde (et qu’il devenait difficile de trouver à s’installer) et en partie parce qu’il commençait à y avoir des blogueurs sur le site (avec la tentation de papoter au bar ou dans les allées plutôt que d’être sérieux …).
Le vendredi matin, M. Lhisbei voulait arriver tôt pour écouter Patrick Michel, Roland Lehoucq, Peter Watts et Claude Ecken évoquer avec Estelle Blanquet Un autre monde vert ? Colonisation, terraformation et exploitation du système solaire. La conférence, très intéressante mais peu optimiste sur notre capacité à quitter notre berceau terrien, s’écoute ici.
Utopiales 2013 – Un autre monde vert – diaporama
Quelques photos d’une conférence à laquelle nous n’avons pas assisté en totalité car nous traînions à la librairie : Les utopies vertes avec Vincent Callebaut, Yannick Rumpala et Luc Schuiten et Ugo Bellagamba. Elle s’écoute ici.
Utopiales 2013 – Les utopies vertes – diaporama
Une conférence qui m’a laissé un excellent souvenir : Un an dans les airs avec Jules Verne avec Raphaël Albert, Raphaël Granier de Cassagnac, Jeanne A. Debats, Nicolas Fructus et Simon Bréan à la modération. Pour autant je n’ai pas encore craqué pour le beau livre. La conférence se rattrape là.
Utopiales 2013 – Un an dans les airs – diaporama
Enchaînons avec la conférence Quand la Nature contre-attaque ! Elle réunissait Valérie Masson-Delmotte, Ian McDonald, Jean-Marc Ligny et Thomas Day sous l’égide de Jean-louis Trudel qui a réalisé l’une des plus complètes (mais aussi l’une des plus longues) introduction qu’il m’ait été donné d’entendre aux Utopiales. Cette introduction nous a permis de mieux cerner le sujet et de glaner des informations des plus intéressantes (et parfois des plus effrayantes). Le corollaire ? Un moral à zéro même s’il ne faut pas se voiler la face. On est mal barré et c’est entièrement de notre faute. La conférence s’écoute ici.
Utopiales 2013- La nature contre-attaque – diaporama
Autre conférence incontournable pour M. Lhisbei, grand fan de planet et space opera, Les planètes géantes dans la science-fiction avec Alain Grousset, Norman Spinrad, Orson Scott Card et Pierre Bordage et Antoine Mottier à la modération. Il s’y est dit des choses intéressantes sur les planètes géantes mais aussi sur l’écriture puisque Pierre Bordage et Alain Grousset ont écrit chacun un roman ayant la même planète géante pour décor mais narrés de deux points de vue différents et avec un décalage temporel de 20 ans. L’un est structurant, c’est à dire qu’il travaille avec un plan (Alain Grousset), l’autre est scripturant (la structure apparaît au fur et à mesure de l’histoire). Orson Scott Card lui est un structurant aussi (et enseigne dans des ateliers d’écriture selon cette méthode) et la conversation s’est révélée savoureuse avec la confrontation des points de vue. La conférence se rattrape ici.
Utopiales 2013 – Les planètes géantes – diaporama
Ensuite nous avons eu une longue éclipse (passage à la librairie, loooooooong passage au bar, papotages avec des blogueurs). Nous avons écouté la conférence rencontre avec Andreas Eschbach à 17h mais j’étais en charge des photos et elles sont toutes ratées (rien de surprenant à ça d’ailleurs, sorti du mode automatique, je suis infoutue de prendre une photo). Ce qui nous amène à la dernière conférence de la journée à 19h : Demain, les jardins ? avec Valérie Masson-Delmotte, Joëlle Wintrebert et Sylvie Lainé et animée par Estelle Blanquet. Elle s’écoute ici.
Utopiales 2013 – Demain les jardins ? – diaporama
Photos de C.Schlonsok tous droits réservés
Dans le prochain billet, nous reviendrons sur la remise du Prix Verlanger avant de revenir à nouveau vers les conférences du samedi.
Bon sang de bois, vous en avez fait un paquet !
Quand on aime on ne compte pas!
Il a surtout fait un paquet de photos oui (je n’ai pas encore fini de trier, trois semaines après le festival)