Lire les premiers billets sur les Imaginales 2018 : Coup d’envoi, P’tit bilan, Auteurs et dédicaces, les conférences du jeudi, du vendredi, du samedi et les lectures d’auteurs.
John Howe, l’illustrateur phare de cette édition, n’était pas exposé à la Maison du Bailli comme c’est le cas habituellement. Son exposition était visible à la BMI (la médiathèque). Pour vous y rendre, vous aviez le choix : emprunter la navette gratuite, vous faire une bonne marche ou disposer de votre propre moyen de locomotion (j’en connais un qui se déplaçait en vélo l’année dernière). Nous avions fait le choix d’arriver la veille pour cette édition et nous avons donc fait un stop à la BMI pour admirer l’expo. Cette dernière était placée devant les bureaux de prêts. La médiathèque est très fréquentée. C’est génial d’y voir du monde (rien de plus déprimant que des temples dédiés au livre désertés), mais ça ne permet pas de visiter sereinement l’exposition. En fait on avait l’air un poil décalé et on a eu l’impression d’être des intrus. Le travail de John Howe est toujours fascinant, et les panneaux (bilingues) donnaient de précieuses information. Un regret cependant : il n’y avait pas de nouveauté dans ce qui était donné à voir. Et la BMI, très lumineuse avec ses grandes baies vitrées, nous gratifiait de reflets (et je déteste ça).
Comme tous les ans, sous la Bulle du livre, des dessinateurs réalisaient la fresque : Fabien Fernandez, Sandra Violeau et Olivier Romac. était réalisée la fresque
Dans le parc du Cours, des panneaux présentaient l’adaptation graphique de Gagner la guerre, roman de Jean-Philippe Jaworski par Frédéric Genêt. Cinq tomes sont prévus.
Et l’Espace cours accueillait des robots (dont R2D2 qui n’est pas sur les photos, le coquin).
Encore une fois, il y en avait pour tous les goûts !
Photos par C.Schlonsok tous droits réservés à l’auteur