Utopiales 2019 – Remise du Prix Verlanger

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Pour suivre nos Utopiales 2019 dans leur intégralité, lire le Bilan à chaud et les auteurs en dédicace.

Nous continuons la rétrospective des Utopiales 2019 avec la cérémonie de remise du prix Verlanger, cérémonie à laquelle a assisté M. Lhisbei pendant que je trainais au bar, probablement avec des blogopotes. La remise du prix se tenait le soir du Black Friday des Utos (entendez par là le vendredi où la Cité des Congrès était saturée par la foule).

Le Prix Julia Verlanger récompense chaque année un roman fantastique ou de science-fiction. L’année dernière, il a été décerné à Patrick K. Dewdney pour L’Enfant de poussière premier volet du Cycle de Syffe (Au Diable Vauvert). Ce dernier était présent pour la remise du prix 2019.

Les jurés ont lu des extraits de chaque ouvrages en compétition. Six titres étaient en compétition cette année :

  • Sam J. Miller – La Cité de l’orque (Albin Michel Imaginaire)
  • Christian Léourier – Helstrid (Le Bélial’)
  • Jodi Taylor – Les Chroniques de Sainte Mary T1 (HC Editions)
  • Ann Leckie – Provenance (J’ai Lu)
  • Tade Thompson – Rosewater (J’ai Lu)
  • Tade Thompson – Les Meurtres de Molly Southbourne (Le Bélial)

Le prix Julia Verlanger a été décerné à Tade Thompson pour Les Meurtres de Molly Southbourne. En l’absence du lauréat, Erwann Perchoc (éditeur au Bélial) et Jean-Daniel Brèque (traducteur des Meurtres de Molly Southbourne) sont monté sur scène pour recevoir le prix.

Jean-Daniel Brèque

Photos par C.Schlonsok tous droits réservés à l’auteur

Jean-Daniel Brèque a traduit et lu un message de l’auteur :

Au moment où j’écris ces lignes, je suis épuisé par une garde à l’hôpital où je travaille. À cet épuisement s’ajoute le regret de ne pas assister en personne aux Utopiales.
Mais apprendre que j’ai remporté ce prix est pour moi un honneur. Merci d’avoir lu et sélectionné mon petit livre. Je ne me sens pas digne mais je suis très certainement reconnaissant. Lorsque je me suis mis à écrire, jamais je n’aurais imaginé qu’un de mes textes puisse figurer dans la même phrase que le nom de Julia Verlanger.
Je tiens notamment à remercier Jean-Daniel Brèque, qui est un traducteur extraordinaire et qui a tout fait pour s’assurer que je survivrais une fois arrivé à Nantes. Je vous verrai la prochaine fois, mon ami.
Je tiens aussi à remercier Le Bélial’, pour avoir couru le risque de publier un livre aussi étrange.
Merci aux lecteurs et aux critiques qui en ont dit du bien.
Merci à tous, du fond du cœur.

Dans les prochains billets nous reviendrons sur les conférences et les expos, promis.

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